De plus, l’ANL, sous le commandement du maréchal Khalifa Haftar, retourne l’accusation du clan soudanais.
Ce seraient les forces soudanaises qui auraient multiplié les assauts à la frontière libyenne ces derniers temps, selon un communiqué relayé par le journal Al Marsad.
D’après leur version, une patrouille libyenne a été prise pour cible le 10 juin par des militaires soudanais.
Le 10 juin, l’armée soudanaise a accusé les forces de Khalifa Haftar d’avoir lancé une attaque à la frontière en coordination avec les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Selon son porte-parole, cette attaque se serait déroulée dans une zone sensible, à la croisée des chemins entre le Soudan, la Libye et l’Égypte.
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