Selon plusieurs rapports récents, la famille royale du Qatar s’apprête à offrir aux États-Unis un Boeing 747-8 VIP d’une valeur estimée à 400 millions de dollars, surnommé un véritable « palais volant ». Ce geste marquerait une étape symbolique dans les relations bilatérales, offrant à l’administration Trump une solution temporaire pour Air Force One, alors que les nouvelles livraisons de Boeing sont retardées jusqu’en 2029.
𝐃𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐥𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝
- Ce 747-8 serait formellement remis lors du prochain voyage du président Trump à Doha, marquant sa première visite à l’étranger de son second mandat.
- Des avis juridiques internes du ministère de la Justice et du Conseil juridique de la Maison-Blanche affirment que cet avion peut être accepté par l’US Air Force sans violer la clause des émoluments de la Constitution.
- L’appareil pourrait ensuite être transféré à la bibliothèque présidentielle Trump d’ici janvier 2029. 𝐈𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬
Cet événement souligne les liens économiques et stratégiques entre Washington et Doha, tout en posant des questions sur les implications éthiques et constitutionnelles d’un tel transfert.
𝐂𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞
- Durant cette visite, Qatar Airways pourrait également annoncer une commande ferme pour 100 avions Boeing, avec une option pour 100 appareils supplémentaires, visant à rajeunir sa flotte et remplacer ses B777 et A380 vieillissants.
- Cette commande, comprenant principalement des B777X et des B787, représenterait près de la totalité de sa flotte actuelle, qui compte environ 250 avions.
- Qatar Airways dispose déjà d’un carnet de commandes impressionnant avec 104 avions en attente chez Boeing (0 B777-9, 34 B777-8F, 10 B787-9, ainsi que 50 options pour des B777-9 et 16 pour des B777-8) et 68 appareils chez Airbus (50 A321neo et 18 A350-1000).
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